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| Traduction |
|---|
| 1. | 気が合う (ki-ga au) |
Exemples
- Entendons-nous, comprenons-nous bien l’un l’autre, les uns les autres.
- S’entendre en musique, en tableaux, etc. — S’y entendre en botanique, en mathématiques.
- Il s’entend à faire valoir une terre. — Il s’entend à mener une intrigue.
- Celui-là est défendu contre les quémandeurs trop opiniâtres par une sorte de femelle revêche, bourrue, grimaçante, qui s’entend à merveille à décourager les volontés les plus obstinées.
- Ils s’entendent comme larrons en foire, se dit de gens qui sont d’intelligence pour faire quelque chose que l’on juge blâmable.
- Ils ne s’entendent guère ensemble.
- Il est d’un commerce agréable, et je m’entends fort bien avec lui.
- Nos belles sont habiles. Je n’ai jamais couru cerfs dans mes forêts de Conches qui s’entendissent mieux à brouiller leur voie et à prendre les faux-fuyants.
- S’entendre avec les ennemis.
- J’ai besoin de m’entendre avec vous là-dessus.
- L’homme est libre, jusqu’à un certain point, s’entend.
- Cela s’entend, cela s’entend de reste, Cela doit être ainsi, il faut bien que cela soit ainsi.
- Cela ne s’entend pas, on ne saurait comprendre cela.
- Cela s’entend aisément. Cela est facile à comprendre.
- Peu à peu, des claquements de sabots s’entendirent, puis des pas étouffés de religieuses ; […].
- Les Vervelle et les Grassou, qui s’entendent à merveille, ont voiture et sont les plus heureuses gens du monde.
- Nous commençons à nous entendre. Nos avis, nos opinions commencent à ne plus différer autant.
- Ils s’entendirent à demi-mots.
- Ils s’entendent très bien sans se parler.
- Je m’entends, cela suffit.
- Il ne s’entend pas lui-même.
- Il y a des fois, quand je m’entends parler, je ne me reconnais plus.
- En ville, on s’entend dire que de gros travaux débuteront bientôt.
- Elle s’est entendu traiter de tous les noms.
- Walder s’y entendait également à réparer un moteur, mais il était loin de valoir Gartner.
- Car mademoiselle Anna Mirandot était une des plus jolies filles du Languedoc tout entier où les parents s’entendent à merveille à les faire.
- C’est une fille qui s’entend au commerce et qui m’aidera dans la gestion de nos affaires.
- Entendons-nous bien : à mes yeux, tout ce qui est parlementaire est essentiellement démocratique et populaire.
- Eh bien ! tu le vois, il n’y a rien de tel que de s’expliquer : on finit toujours par s’entendre.
- Que de fois, en évoquant les entretiens passés d’Anna et de Claude, je m’étais dit : « Voilà deux hommes faits pour s’entendre. »